N.W.O. Le Nouvel Ordre Mondial -> Destination Babel...

2013, le blog continue avec toujours des infos que les médias "mainstream" ne relatent pas. Bonne lecture.

jeudi 23 décembre 2010

11-Septembre : Vers un basculement de l'opinion scientifique ?‏




Cette baston de scientifique n'a que peu de sens dans la mesure ou le camp
adverse sera toujours capable d'en produire 10 fois plus avec
des références au moins égales ou supérieure.
 
En fait, la forme est sans importance par rapport au fond, car les experts et contre-experts vont s'affronter encore longtemps.

Par contre, en prenant du recul, il est tout à fait évident qu'une telle opération, sa planification et encore plus sa réussite, ne peut absolument pas être l'oeuvre d'une bande de demeurés qui s'entrainent en simulateurs et braquent des zincs avec des couverts en plastique ou des petits cutters, le tout dirigé par un illuminé au fond d'une grotte. Pour en finir avec ça, balancer un énorme avion de ligne à pleine vitesse dans un building c'est comme de vouloir viser une allumette avec une fléchette, passons.

Tout ceci n'a qu'une importance relative par rapport à l'examen sans complaisance du fond :
La planification d'une opération de cette ampleur requiert des centaines de personnes et des années.
Agents dormants, infiltrés, financiers, coordinateurs, agents de liaisons, d'intendances, kamikazes, et les indispensables fusibles. Ces circuits doivent être triplés, quadruplés et plus, totalement hermétique les uns des autres. La structure dirigeante est au sommet d'une pyramide, dont les intermédiaires doivent être interchangeables, sacrifiable à tous moments et remplaçable immédiatement.

Les circuits financiers requièrent eux mêmes au moins autant de personnel que les opérationnels de terrain, et organisé de la même manière. Les agents de liaisons de type interface finance/logistique/intendance/terrain doivent être démultiplié, également remplaçable, et quasiment impossible à cloisonner. Les moyens financiers pour tous ces réseaux sont logiquement colossaux et impliquent donc de vastes réseaux de blanchiement. Les planificateurs se doivent d'être présent sur tous les continents, à chaque étape, et possèder leurs propres réseaux. Les communications à tous niveaux, pour être efficace se doivent d'être démultipliable à l'infini, mais ne peuvent jamais être totalement sure.
Les capacités d'exfiltrations de sécurité sont encore d'autres réseaux à entretenir et controler qui se doivent d'avoir de conséquent moyens matériels pour être efficace.

Chaque étape de la planification se doit de posséder de multiples scénarios de rechange et un seul homme ne peut-être l'unique dépositaire de l'ensemble des opérations complexe à tous niveaux.
La transversalité au niveau organigramme des intermédiaires est une énorme faiblesse.
De tels réseaux ne peuvent être à l'abri des infiltrations et des fuites, ce qui rend encore plus hypothétique une réussite totale.

Mais le pire est à venir: L'infiltration.
L'infiltration des rouages de l'administration nord-américaine, au plus haut niveau et dans toutes les directions, de l'aviation civile au Pentagone en passant par le NORAD, réclamerait des vies consacré à cela, pour saboter, camoufler, et définir les fenètres de tirs. La encore, on retrouverait le même mode de fonctionnement que la partie opérationnelle, mais en beaucoup plus sensible au niveau planification, communications, liaisons et rapporteurs. La partie renseignement est fondamentale dans le cadre de cette opération.
A ce niveau du dispositif, le ratage d'un seul d'entre eux annule l'opération.

La clandestinité totale pour l'ensemble n'est donc logiquement pas envisageable.

Pour être crédible, c'est très exactement ce que la commission officielle Kean/Hamilton aurait du mettre à jour.

Et qu'avons nous reçu à la place ? Des hypothèses totalement foireuses qui n'ont aucun rapport avec un mode opérationnel d'une telle ampleur. A leur décharge, cette commission n'a bénéficié que de 600 000 $ pour travailler, Kenneth Star en a eu 40 millions pour prouver que Bill avait taché la robe de Monica. Comme il existe 5 fois plus de ressource attribué aux enquètes de violations de l'embargo sur Cuba, que pour poursuivre Ben Laden.

Au-dela, pas le plus "petit" membre des services de renseignement, aucun militaire, d'aucun pays ne pourra avaler la version officielle, et pour cause :

Le véritable pouvoir de nuisance des cellules terroristes telles que nous les connaissons, est extrèmement limité.
Un camion d'explosif en 1993 dans le WTC. Une barque bourré d'explosif contre l'USS Cole en 2000 au Yemen. Quelques bagnoles contre des ambassades. A Londres et à Madrid, il s'agit d'opérations plus ou moins réussies, individuelles, et les auteurs sont immédiatement arrêté tandis que leur minable réseau est identifié et démantelé. Ce qui rend l'imprévisibilité de telles actions est la nature même de ces cellules : Individuelle, autonome, et une organisation horizontale. Tout le contraire de ce que nous avons vu plus haut.

Comment ne pas voir l'évidence de la différence d'échelle entre ces piqures de moustiques et une opération telle que celle du 11/09 ?
Il est également impossible qu'un groupe terroriste possède un tel potentiel de nuisance, alors qui d'autre qu'un puissant service de renseignement, possèdant et maitrisant l'ensemble de la chaine ?

Surtout, gardons bien à l'esprit que l'Opération Northwood (1962), prévoyait déja de tuer un grand nombre de citoyen US par son gouvernement, à l'aide d'avion de ligne et de frappe sur des batiments militaires.

La problématique actuelle, posé par les travaux sur l'hypothèse alternative du 11/09 est sa très grande disparité. Il est indispensable de tout lire, tout voir, pour reconstituer le fil complet des évènements. Et ce n'est qu'a cette condition que nous pouvons avoir une vue d'ensemble très clair, et dans laquelle la version officielle apparait irréfutablement comme un mensonge éhonté.
Cet effort est indispensable, car cet évènement, façonne notre présent et notre futur, jusqu'a la possibilité de provoquer un conflit nucléaire. Tant que ce mythe ne sera pas démonté, nous n'aurons aucune possibilité de stopper significativement l'administration capitaliste et nihiliste des Etats-Unis d'amérique.



11-Septembre : Vers un basculement de l’opinion scientifique ?

Tout récemment, l’ingénieur chimiste Mark Basile a confirmé, après analyses, la présence de matériaux hautement inflammables de type nano-thermite (une substance exothermique Hi-Tech à usage exclusivement militaire capable de fondre l’acier instantanément) dans les décombres du World Trade Center [voir son interview filmée], corroborant les résultats d’analyses du physicien Steven Jones, du chimiste Niels Harrit de l’Université de Copenhague, et plus récemment du géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau dont nous avions publié l’étude en exclusivité sur le site de notre association ReOpen911 en mai 2010.

Ces analyses doivent-elles êtres considérées a priori comme farfelues ? L’avis de ReOpen911 est clair : cela n’est tout simplement pas possible. En effet, outre le fait que leurs auteurs sont des experts au CV bien rempli et parfaitement crédibles, la théorie de la démolition contrôlée par ajout d’énergie extérieure (que ce soit par des explosifs ou des substances exothermiques) est, en toute objectivité, la seule qui à ce jour parvient à expliquer l’ensemble des phénomènes observés :
 
  • La quasi parfaite symétrie des trois effondrements.
  • L’observation de projections horizontales et « explosives » de matériaux lors de l’effondrement des Tours Jumelles, dont des poutrelles pesant jusqu’à 20 tonnes [voir l’analyse en images de ces éjections par le professeur de physique David Chandler].
 
 Effondrement du WTC2 : sa masse est projetée dans toutes les directions 
 
 Ejections "explosives" de matériaux sous le rideau de débris en chute libre 
 
 Poutre encastrée dans une tour située à plus de 100 m du WTC
 
  • La présence d’acier en fusion dans les ruines du WTC.

 Acier en fusion dans les ruines du WTC
 
 Image satellite du 16 sep.01 montrant des sources de chaleur thermique "anormales"
 
   Eléments d’acier et de béton compactés et fusionnés
 

Les études et analyses susmentionnées sont-elles pour autant dans le vrai ? Il n’appartient pas à l’association ReOpen911 de s’autoproclamer arbitre et de porter un jugement définitif sur cette question. Toutefois, la situation est à présent la suivante : nous observons une vive et incessante accélération du rythme de publication d’études et d’analyses scientifiques qui réfutent la version officielle de l’effondrement des trois tours du World Trade Center. L’opinion scientifique serait-elle sur le point de basculer du côté de la remise en cause de la version officielle ? Notons que les tenants de la version officielle ne sont bien souvent pas indépendants, à commencer par les experts du NIST, l’agence gouvernementale américaine qui fut chargée de l’enquête officielle sur l’effondrement des tours du WTC, et qui dépend du Département du Commerce (le président de cette agence qui rendit les rapports si controversés fut nommé par George W. Bush).
 
Les experts scientifiques qui contestent la version officielle, toujours plus nombreux, se sont regroupés en associations ou collectifs professionnels dédiés à la recherche de la Vérité et appelant à une nouvelle enquête :
 

Architects & Engineers for 9/11 Truth, une association américaine regroupant plus de 1300 architectes et ingénieurs [voir l’interview filmée du fondateur de l’association].
 
 

Scientists for 9/11 Truth, une association regroupant plus de 60 scientifiques américains de premier plan (chimistes, physiciens, geophysiciens...) [voir l’analyse du rapport du NIST sur l’effondrement des Tours Jumelles par le physicien Steven Jones et l’ingénieur chimiste Kevin Ryan].
 

Le Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11 Septembre, un tout jeune collectif créé en septembre 2010 qui regroupe des scientifiques francophones dont le géo-physicien et chercheur retraité du CNRS André Rousseau. 
 
 
Pour toutes ces raisons, l’association ReOpen911 appelle au débat public sur l’effondrement des trois tours du WTC. Les médias grand-public ont bien évidemment un rôle déterminant à jouer dans l’établissement de la vérité, fonction qu’ils assument désormais parfois (trop peu souvent encore) dans un certain nombre de pays étrangers, notamment aux Etats-Unis où même Fox News a opéré un revirement radical sur le traitement médiatique du 11-Septembre.
 
Le 13 novembre dernier, à peine plus d’un mois après une première émission de Fox News qui donna l’occasion au lieutenant-colonel Anthony Shaffer et à l’ancien membre de la CIA Michael Scheuer de dénoncer le fait qu’il y avait eu des dissimulations sur le 11 Septembre « aux plus hauts niveaux du gouvernement », la chaîne ultraconservatrice a invité sur la plateau de l’émission d’information « Geraldo at Large » deux personnalités du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre. L’objet de l’émission : discuter de la campagne télévisée « Building What ? » dont l’objectif est d’obtenir une nouvelle enquête sur l’extraordinaire effondrement du WTC 7, la TROISIEME tour à s’être effondrée le 11 septembre 2001.

Devant une audience de plus d’un million de téléspectateurs, le très populaire animateur Geraldo Rivera, qui jusqu’à peu était un critique virulent du Mouvement pour la Vérité sur le 11/9, reconnaît à présent avoir évolué dans ses positions. Il conclut l’émission en affirmant : « C’est un sujet intriguant. Je suis bien plus ouvert à ce sujet que je ne l’étais, et c’est à cause de l’engagement des familles du 11/9, et de tous ces ingénieurs et architectes ». Son aveu résonne comme un mea culpa. Regardez cette émission de Fox News sous-titrée en français :

 
 
Il s’agit là d’un franc succès pour la campagne « Building What ? » dont ReOpen911 est partenaire officiel aux côtés des familles de victimes, survivants et secouristes du 11 Septembre représentés par l’association NYCCAN.
 
L’association ReOpen911, à l’instar du Collectif Scientifique Francophone pour la Vérité sur le 11-Septembre, invite les experts scientifiques francophones - physiciens, chimistes et ingénieurs du génie civil - à se pencher sur les questions que pose l’effondrement des trois tours du WTC et à réaliser leurs propres études et analyses. A leur attention, nous avons annexé à cet article une liste bibliographique regroupant les rapports officiels du NIST et une sélection d’études et d’analyses scientifiques de référence ; certaines soutiennent la version officielle, les autres la contestent. 
 
—La rédaction de ReOpen911—
 
 
 
Bibliographie
 
Quelques études et analyses de référence soutenant la version officielle (par ordre chronologique) :
Quelques études et analyses de référence réfutant la version officielle (par ordre chronologique) :

mercredi 22 décembre 2010

Connaissez-vous le drône X-37 B ?


Le Boeing X-37 Advanced Technology Demonstrator est un prototype de navette spatiale sans équipage développé par la NASA à compter de 1999, destiné à mettre au point de nouvelles technologies pour les décollages orbitaux et les rentrées atmosphériques et à préparer le remplacement de la navette spatiale américaine. C'est un engin de taille réduite pesant moins de 6 tonnes, doté d'une soute cargo, et avec une capacité de manœuvre orbitale importante.
Le X-37 est entièrement automatisé et dérive du X-40A agrandi d'environ 20 %. En 2004, à la suite de la suppression du budget alloué au projet, le X-37 est repris par la DARPA, l'agence de recherche militaire américaine. En 2006, pour des raisons financières, cette dernière passe la main à la force aérienne des États-Unis qui, depuis, poursuit sa mise au point. Son premier vol atmosphérique a eu lieu le 7 avril 2006 en Californie, à la base Edwards. Le premier lancement en orbite a eu lieu le 22 avril 2010[1]. Les missions que pourraient remplir le X-37 au service de l'armée de l'air ne sont pas connues car le projet est désormais classé confidentiel. On suppose qu'il pourrait être utilisé dans la lutte contre les satellites hostiles.


La température anormalement élevée dans le centre de la Russie a déjà engendré d’énormes pertes économiques. Un cinquième des cultures a été détruit et les prix des produits alimentaires principaux pourraient augmenter considérablement dès l’automne. Moscou est pris dans la fumée des incendies des tourbières. Les prévisions des experts sont loin d’être rassurantes : les sècheresses, les ouragans et les inondations se répéteront de plus en plus souvent et seront de plus en plus violents. Alexeï Kokorine, le directeur du programme Climat et énergie des Fonds mondiaux pour la Nature (WWF), explique que « la tendance actuelle (la sècheresse) ne s’arrêtera pas, elle n’est pas le fruit du hasard… »
Que l’employé d’une organisation internationale influente qui travaille dans différentes régions du monde sous la couverture des programmes écologiques soit si bien informé est très significatif. Et cela ne se réduit pas au fameux « réchauffement de la terre » qui fait l’objet d’intenses débats scientifiques et autres. La théorie du « réchauffement de la planète » en tant que cycle naturel nécessite, tout au moins, des preuves alors que la canicule actuelle, observée, d’ailleurs, exclusivement sur le territoire de la Russie et de ses territoires limitrophes, pourrait sous-entendre plus que des explications scientifiques naturelles.

Le problème de régulation de la météo, comme forme de régulation sociale, a été abordé dès les années 1970 par Zbigniew Brzezinski dans son livre Entre deux siècles. Il est clair que l’expert de la géopolitique américaine ne pouvait pas ne pas se poser la question sur la possibilité d’utiliser diverses formes d’impact climatique aussi bien sur les systèmes sociaux que géopolitiques. D’autres auteurs sérieux ont également écrit à ce sujet, bien que pour des raisons évidentes, il est peu probable que les informations concernant les découvertes dans le domaine de la création et d’essais d’une arme climatique soient divulguées un jour.
En 2000, Michel Chossudovsky, professeur d’économie à l’université d’Ottawa, a écrit sur la possibilité d’un changement partiel du climat comme résultant de l’utilisation d’une nouvelle génération « d’armement non létal ». Les Américains travaillent sur la capacité de contrôler le climat dans diverses régions du monde, cette technologie est développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), capable de provoquer des phénomènes tels que des sècheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations. Du point de vue militaire, le HAARP est une arme de destruction massive, un instrument d’expansion qui permet de déstabiliser sélectivement les systèmes écologiques et agricoles des pays et des régions ciblés. La base technique connue du programme est un système d’émetteurs électromagnétiques destiné à l’étude des processus dans l’ionosphère et composé de 360 émetteurs radio et de 180 antennes d’une hauteur de 22 mètres. En émettant dans le ciel 3 600 kilowatts la station est devenue l’installation la plus puissante au monde pouvant agir sur l’ionosphère. Le programme, lancé en 1990, est financé par la direction des Recherches maritimes et par le laboratoire de Recherche de l’armée de l’air américaine avec la participation des plus grandes universités.
Tout cela donne matière aux rumeurs et aux hypothèses. On pourrait toujours continuer à rire de Hugo Chavez qui a expliqué le tremblement de terre dévastateur en Haïti par la mise en application de HAARP, mais des hypothèses similaires ont été formulées après le tremblement de terre dans la province chinoise de Sichuan en 2008. De plus, une série de faits montre que le programme américain qui a pour objet le changement climatique dans des pays et des régions particuliers porte un caractère systématique qui touche maintenant le milieu spatial.
Ainsi, par exemple, le 22 avril 2010, le drone américain X-37B a été lancé sur l’orbite de la Terre et pourrait, selon certaines sources, transporter à son bord de nouveaux modèles d’armement laser. Selon le New York Times, les représentants du Pentagone nient fermement toute relation entre l’appareil et un armement offensif quelconque mais admettent qu’il a pour but d’assister des opérations militaires terrestres et de remplir diverses missions auxiliaires. Le X-37B a été construit il y a 11 ans déjà en vertu d’un programme de la NASA, et en 2006 ce programme a été transmis à l’armée de l’air américaine sous le cachet du secret défense en ce qui concerne sa destination et son budget.
Les exigences de soulever le voile du secret défense sur les expérimentations menées en Alaska n’ont jamais cessé d’être exprimées aux États-Unis et dans d’autres pays. En Russie les exigences similaires n’ont jamais été exprimées de façon bruyante. Néanmoins, il semblerait que les changements climatiques au service des intérêts politiques soient loin d’être un mythe et prochainement la Russie, ainsi que le reste du monde, devrait faire face à un nouveau type de menace. Les développements dans le domaine d’armement climatique semblent atteindre la « capacité de rendement prévue », en engendrant les sècheresses, en détruisant les récoltes et en provoquant sur le territoire de la « cible » toute une série de phénomènes anormaux.




Un scénario pour 2025
La technologie de la guerre spatiale et cybernétique est tellement nouvelle et non-testée que même les scénarios les plus bizarres pourraient bientôt être dépassés par une réalité encore difficile à concevoir. Toutefois, si nous employons simplement le type de scénarios que l’US Air Force a elle-même utilisés dans son 2009 Future Capabilities Game, nous pouvons obtenir « une meilleure compréhension sur la manière dont l’air, l’espace et le cyberespace coïncident dans l’art de la guerre » ; et, commencez alors à imaginer comment la prochaine guerre mondiale pourrait réellement être livrée !
Il est 23h59 en ce jeudi de Thanksgiving 2025. Tandis que les foules se pressent dans les cyberboutiques et qu’elles martèlent les portails de Best Buy pour des gros discounts sur les derniers appareils électroniques domestiques provenant de Chine, les techniciens de l’US Air Force, au Télescope Spatial de Surveillance de Maui [Hawaï], toussent sur leur café tandis que leurs écrans panoramiques deviennent soudainement noirs. A des milliers de kilomètres, au centre de commandement cybernétique au Texas, les combattants cybernétiques détectent rapidement des codes binaires malicieux qui, bien que lancés de façon anonyme, montrent l’empreinte numérique distincte de l’Armée de Libération Populaire de Chine.
Cette première attaque ouverte n’avait été prévue par personne. Le « programme malicieux » prend le contrôle de la robotique à bord d’un drone américain à propulsion solaire, le « Vulture », alors qu’il vole à 70.000 pieds au-dessus du Détroit de Tsushima, entre la Corée et le Japon. Il tire soudain tous les modules de fusées qui se trouvent en dessous de son envergure gigantesque de 135 mètres, envoyant des douzaines de missiles létaux plonger de façon inoffensive dans la Mer Jaune, désarmant ainsi efficacement cette arme terrible.
Déterminé à répondre coup pour coup, la Maison Blanche autorise une frappe de rétorsion. Confiant que son système de satellites F-6, « fractionné et en vol libre » est impénétrable, les commandants de l’Air Force en Californie transmettent les codes robotiques à la flottille de drones spatiaux X-37 B qui orbitent à 450 kilomètres au-dessus de la Terre, leur ordonnant de lancer leurs missiles « triple terminator » sur les 35 satellites chinois. Aucune réponse. Proche de la panique, l’US Air Force lance son véhicule de croisière hypersonique Falcon dans un arc de 160 kilomètres au-dessus de l’Océan Pacifique et ensuite, juste 20 minutes plus tard, envoie les codes informatiques pour tirer les missiles contre sept satellites chinois en orbite basse. Les codes de lancement sont soudainement inopérants.
Au fur et à mesure que le virus chinois se répand irrésistiblement à travers l’architecture des satellites F-6 et que ces super-ordinateurs américains de deuxième classe ne parviennent pas à cracker le code diablement complexe du programme malicieux, les signaux GPS, cruciaux pour la navigation des navires et des avions américains dans le monde entier, sont compromis. Les flottes de porte-avions commencent à tourner en rond au milieu du Pacifique. Des escadrons d’avions de combat sont cloués au sol. Les drones moissonneurs volent sans but vers l’horizon, se crashant lorsque leur carburant est épuisé. Soudain, les Etats-Unis perdent ce que l’US Air Force a longtemps appelé « le terrain élevé de combat ultime » : l’espace. En quelques heures, la puissance mondiale qui a dominé la planète pendant près d’un siècle a été vaincue dans la Troisième Guerre Mondiale sans causer la moindre victime humaine.

Un nouvel ordre mondial?

Même si les événements futurs s’avèrent plus ternes que ce que suggèrent ces quatre scénarios, toutes les tendances importantes pointent vers un déclin beaucoup plus saisissant de la puissance américaine d’ici 2025 que tout ce que Washington semble maintenant envisager.
Alors que les alliés [des Etats-Unis] dans le monde entier commencent à réaligner leurs politiques pour rencontrer les puissances asiatiques montantes, le coût de maintien des 800 bases militaires ou plus à l’étranger deviendra tout simplement insoutenable, forçant finalement Washington à se retirer graduellement à contre-cœur. Avec la Chine et les Etats-Unis qui se trouvent dans une course à la militarisation de l’espace et du cyberespace, les tensions entre les deux puissances vont sûrement monter, rendant un conflit militaire d’ici 2025 au moins plausible, voire quasiment garanti.
Pour compliquer un peu plus les choses, les tendances économiques, militaires et technologiques exposées brièvement ci-dessus n’agiront pas de manière clairement isolée. Comme cela s’est produit pour les empires européens après la Deuxième Guerre Mondiale, de telles forces négatives se révèleront sans aucun doute synergiques. Elles se combineront de façon complètement inattendue, créeront des crises pour lesquelles les Américains ne sont absolument pas préparés et menaceront d’envoyer l’économie dans une spirale descendante soudaine, reléguant ce pays dans la misère économique, pendant une génération ou plus.
Tandis que la puissance américaine s’estompe, le passé offre un éventail de possibilités pour un futur ordre mondial. A un bout de ce spectre, la montée d’une nouvelle superpuissance mondiale, même si elle est improbable, ne peut pas être écartée. Toutefois, la Chine et la Russie manifestent toutes deux des cultures autoréférentielles, des écritures abstruses non-romaines, des stratégies de défense régionales et des systèmes légaux sous-développés, leur contestant les instruments clés pour la domination mondiale. Alors, dans ce cas, aucune superpuissance de semble pouvoir succéder aux Etats-Unis.
Dans une version noire contre-utopique de notre futur mondial, il est concevable qu’une coalition d’entreprises transnationales, de forces multilatérales comme l’OTAN et d’une élite financière internationale puisse élaborer un réseau supranational instable qui ne donnerait plus aucun sens à l’idée même d’empires nationaux. Tandis que des entreprises dénationalisées et des élites multinationales dirigeraient de façon usurpée un tel monde depuis des enclaves urbaines sécurisées, les multitudes seraient reléguées dans des terres, rurales ou urbaines, laissées à l’abandon.
Dans Planet of Slums [planète bidonvilles], Mike Davis offre au moins une vision partielle du bas vers le haut d’un tel monde. Son argument est que le milliard de personnes (deux milliards d’ici 2030) déjà entassées dans des bidonvilles fétides de type favelas autour du monde, feront « les villes sauvages et en faillite du Tiers Monde […] l’espace de combat caractéristique du 21ème siècle ». Alors que l’obscurité s’installe sur quelques super-favelas futures, « l’empire peut déployer des technologies orwelliennes de répression », tandis que « les hélicoptères de combats de type hornet chassent des ennemis énigmatiques dans les rues étroites des bas-quartiers… Tous les matins, les bidonvilles répliquent par des attentats-suicides et des explosions éloquentes ».
Au milieu de ce spectre de futurs possibles, un nouvel oligopole pourrait émerger entre 2020 et 2040, avec les puissances montantes chinoise, russe, indienne et brésilienne collaborant avec des puissances en déclin comme la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Japon et les Etats-Unis, en vue d’imposer une domination globale ad hoc, semblable à l’alliance approximative des empires européens qui ont dirigé la moitié de l’humanité aux alentours de 1900.
Une autre possibilité : la montée d’hégémons régionaux dans un retour à quelque chose rappelant le système international en œuvre avant que les empires modernes ne se forment. Dans cet ordre mondial néo-westphalien, avec ses perspectives sans fin de micro-violence et d’exploitation incontrôlée, chaque hégémon dominerait sa région immédiate – le Brésil en Amérique du Sud, Washington en Amérique du Nord, Pretoria en Afrique méridionale, etc. L’espace, le cyberespace et les profondeurs maritimes, retirés du contrôle de l’ancien « gendarme » planétaire, les Etats-Unis, pourraient même devenir des nouvelles parties communes mondiales, contrôlées au moyen d’un Conseil de Sécurité onusien élargi ou d’une autre institution ad hoc.
Tous ces scénarios extrapolent des tendances futuristes existantes, sur la supposition que les Américains, aveuglés par l’arrogance de décennies de puissance sans précédent historique, ne peuvent pas prendre ou ne prendront pas les mesures pour gérer l’érosion incontrôlée de leur position mondiale.
Si le déclin de l’Amérique suit en fait une trajectoire de 22 années entre 2003 et 2025, alors les Américains ont déjà gaspillé la plus grande partie de la première décade de ce déclin avec des guerres qui les ont détournés des problèmes à long-terme et, de la même manière que l’eau est bue rapidement par les sables du désert, des trillions de dollars terriblement nécessaires gaspillés.
S’il reste seulement 15 ans, les risques de les gaspiller tous reste toujours élevé. Le Congrès et le président [des Etats-Unis] sont à présent dans une impasse ; le système américain est submergé par l’argent des grandes entreprises qui bloquent les usines ; et peu de choses laissent penser que toute question d’importance, y compris les guerres américaines, l’Etat national sécuritaire bouffi de l’Amérique, son système éducatif démuni et ses approvisionnements énergétiques archaïques, sera traitée avec assez de sérieux pour assurer la sorte d’atterrissage en douceur qui pourrait maximiser le rôle et la prospérité des Etats-Unis dans un monde en changement.
Les empires d’Europe sont révolus et le pouvoir suprême des Etats-Unis se poursuit. Il semble de plus en plus improbable que les Etats-Unis obtiendront quelque chose qui ressemble de près ou de loin à la réussite de la Grande-Bretagne, pour façonner un ordre mondial réussi qui protège leurs intérêts, préserve leur prospérité et porte la marque de leurs meilleures valeurs.



lundi 20 décembre 2010

Roland Dumas : "le 11 septembre, je n'y crois pas". Et vous ?


Roland Dumas : "le 11 septembre, je n'y crois pas". Et vous ?


Roland Dumas : "le 11 septembre, je n'y crois pas". Et vous ?
Karl Zéro, Jean-Marie Bigard, Marion Cotillard, Mathieu Kassovitz… Jusqu’ici, les personnalités qui avaient osé remettre en question le dogme de la version officielle du 11 septembre, hormis le cas atypique du trublion mi journaliste mi amuseur public, appartenaient au milieu du spectacle. Or voici qu’une nouvelle voix s’est élevée, venue cette fois de la sphère politique, et pas à un petit niveau : ancien ministre des Relations extérieures (1984-1986) puis des Affaires étrangères (1988-1993), avant d’occuper la présidence du Conseil constitutionnel – où il s’est entre autres illustré en poussant à la validation des comptes de campagne illégaux de Jacques Chirac et Edouard Balladur, mais c’est une autre histoire -, Roland Dumas a fait son coming out lors de l’émission de débat Ce soir ou jamais sur France 3 jeudi dernier. « Moi, je vous dirai ce que je pense sur le 11-Septembre : je n’y crois pas », a-t-il lâché. S’ensuit un brouhaha  – imaginez, il vient de blasphémer en direct ! – d’où s’échappe « Vous vivez du 11 septembre », adressé sans doute collégialement à ses trois contradicteurs, les très atlantistes Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, la philosophe Thérèse Delpech et l’essayiste Guy Sorman, puis, en réponse à un indigné « Il y a des limites »« Les limites sont celles que vous fixez, ce ne sont pas les miennes. Moi, j’ai horreur de cette tentative de dictature intellectuelle, qui n’a pas de raison d’être ». Il s’explique pour Oumma.com : « Vous avez déclaré hier soir dans l’émission de Frédéric Taddeï ne pas croire au 11-Septembre. Que voulez-vous dire par là ? Eh bien, je crois qu’on ne peut pas faire plus clair ! Je ne crois pas à ce qui a été raconté à ce sujet.
A quoi faites-vous allusion précisément ?
Il y a énormément de faits anormaux dans la version officielle. J’ai lu et étudié de nombreuses recherches faites sur la question. Beaucoup d’éléments ne tiennent pas : il suffit de se pencher, par exemple, sur le cas du trou de l’avion dans le Pentagone, beaucoup trop petit, ou sur d’autres aspects moins connus.
La version officielle vous semble-t-elle davantage mensongère ou lacunaire ?
Encore une fois, il suffit de se pencher sérieusement dessus pour se faire une idée. Je ne veux pas, pour l’instant, revenir là-dessus et commenter un commentaire personnel mais, effectivement, la version officielle ne tient pas. »
Au fait, dans l’indifférence médiatique générale, le site Reopen 9/11 a publié en novembre l’interview en vidéo d’un chimiste qui, après analyse de la poussière du World trade center (WTC), a mis en évidence la présence de nanothermite, après cinq autres chercheurs parvenus avant lui à la même conclusion. Nanothermite qui est un ingrédient utilisé pour les démolitions contrôlées. Et le 7 décembre, le même site a mis en ligne, sans plus d’écho, un passionnant article du Foreign Policy Journal qui explique comment les enquêtes sur les délits d’initiés autour du 11 septembre (spéculation par exemple contre les compagnies aériennes et les assureurs touchés), évalués par l’ancien ministre allemand Andreas von Bulow à 15 milliards d’euros, ont été un modèle de déni. En voici la conclusion : « Dans les premiers jours qui ont suivi le 11/9, des régulateurs financiers dans le monde entier ont fait part d’éléments sans précédent montrant l’existence de délits d’initiés en lien avec les attaques terroristes de ce jour-là. Le président d’une banque centrale (Welteke) a expliqué qu’il y avait des «preuves irréfutables» de telles opérations financières. Ces preuves ont conduit les régulateurs américains à faire le serment, devant le Congrès, de traduire ces responsables en justice. Ces promesses n’ont pas été tenues, comme le montre l’attitude de ceux en charge des investigations, qui ont dégagé la responsabilité des suspects par des enquêtes superficielles, et ont conclu que des délits d’initiés ne pouvaient pas avoir eu lieu, puisqu’ils n’avaient pas été effectués directement par Oussama Ben Laden ou par al-Qaïda. « Les enquêtes approfondies » conduites par le FBI, sur lesquelles s’appuie le rapport de la Commission sur le 11/9, étaient clairement biaisées. Le FBI n’a pas entendu les suspects et n’a pas semblé vouloir se rapprocher de la Commission sur le 11/9 pour l’étude comparative de notes afin de déterminer lesquelles parmi les personnes interrogées étaient susceptibles d’entretenir des rapports avec al-Qaïda. La synthèse du mémorandum de la Commission suggère que le FBI a simplement pris des décisions de son propre chef pour ce qui concerne les relations possibles entre les suspects et les organisations terroristes présumées. Ces décisions unilatérales n’étaient pas appropriées, étant donné qu’au moins trois des cas potentiels de délits d’initiés (celles de Walker, du trader Viisage et celle de Wellington Management) impliquaient logiquement des liens avec Oussama Ben Laden ou sa famille. Un autre suspect (Elgindy) était un criminel sur le point d’être reconnu coupable, et qui avait des liens directs avec des employés du FBI, arrêtés plus tard pour violations de la sécurité… Le FBI a aussi défendu en août 2003 le fait qu’il n’avait aucune connaissance des disques durs restaurés provenant du WTC, ce qui avait [pourtant] été publiquement annoncé en 2001. D’après ceux qui ont récupéré les données correspondantes, les disques durs ont révélé l’existence « de répugnantes transactions du jugement dernier » (dirty doomsday dealings). Les indices de délits d’initiés autour du 11/9 mettent en jeu de nombreux circuits financiers, des actions aux bons du Trésor, en passant par des transferts par cartes de crédit faits au WTC juste avant sa destruction. Aujourd’hui, nous savons que des experts financiers dans le monde entier ont fourni des éléments solides, au moyen de techniques statistiques éprouvées et fiables, montrant que les premiers soupçons des experts étaient justifiés, et que les délits d’initiés du 11/9 ont vraiment eu lieu. Des gens connaissaient à l’avance les crimes du 11/9 et ils en ont tiré profit. Ces gens sont parmi nous aujourd’hui, et nos familles et nos communautés risquent de subir de nouvelles attaques terroristes et de nouveaux délits financiers si nous ne tenons pas compte de ces éléments de preuve. Il est temps d’ouvrir une enquête indépendante et internationale sur les délits d’initiés et sur les traders qui ont profité des actes terroristes du 11 Septembre. » Et sur les attentats du 11 septembre eux-mêmes ! En réalité, l’attitude des tenants de la version officielle, qui excommunient tous leurs contradicteurs en les taxant de « complotistes », est parfaitement résumée par l’illustration ci-dessous.